#urbanisme

Une manière de voir le partage de l’espace de mobilité urbaine et rurale est d’associer chaque moyen de transport à son niveau de privilège. Du plus privilégié au moins privilégié :

Les moyens les plus privilégiées appliquent une sorte de pression, même passive, sur les autres, car ils sont plus imposant, lourd et rapide. De plus, les infrastructures sont souvent plus avantageuses pour les plus gros véhicules (cas extrême : les US)

Pourtant, à de nombreux endroits comme dans les villes, les mobilités plus douces sont majoritaires et souvent en croissance.

Pour “re-équilibrer” les forces, deux moyens : 1) (soft) Donner la priorité au véhicule le moins privilégier, le plus souvent possible (sauf si ça implique de piler au milieu de la route et mettre tout le monde en danger bien sûr) 1) (hard) Faire des infrastructures plus justes (piétonniser, créer des pistes cyclables, augmenter la taille des trottoirs, limiter la vitesse sur les routes)